Loisirs
Sols et biodiversité : l’impact foncier des parcs d’attractions


«Pour moi, un parc d’attractions, c’est comme une zone commerciale artificialisée, construite enpériphérie d’une ville», explique Emmanuel Régent, président de l’association Biodiversio dont l’objectif est de sensibiliser les collectivités, entreprises et citoyens à la biodiversité et de les accompagner dans la création d’initiatives locales à impact positif. «Si je prends le cas du Futuroscope par exemple, c’est béton-bitume: les espaces verts, c’est une bande de pelouse par-ci, par-là. Trois arbres plantés entre deux parkings.» Nombreux sont les parcs ayant été construits dans les années 1980-1990, à une époque où l’environnement n’était pas encore une préoccupation urgente et où les collectivités y voyaient essentiellement une manne économique en termes d’emplois et de tourisme.
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