Transports urbains, une réponse au manque d’espace

Depuis quarante ans, dans les grandes villes, la mobilité est progressivement devenue un enjeu politique. Les collectivités, qui s’étaient déjà équipées en métros dans les années 1970 et 1980, ont participé au retour du tramway, démantelé vingt ans plus tôt, avant de céder aux bus dits «à haut niveau de service», disposant d’un couloir réservé. Le trolleybus, le funiculaire ou la navette de centre-ville agrémentent parfois ce «cocktail des mobilités», tandis que chaque maire vivant au bord d’un fleuve rêve de transport par voie d’eau. Depuis dix ans, la structuration d’un réseau cyclable de qualité, la piétonnisation de nouvelles rues ou l’agrandissement des trottoirs sont devenus indispensables, notamment devant les écoles.
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