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À Gènes, un drame et une renaissance

Il y a plus de sept ans, un pont autoroutier s’effondrait sur la ville. La catastrophe entraînera une profonde remise en cause des procédures de contrôle à l’œuvre en Italie.
Le dimanche 2 novembre 2025
Le nouveau viaduc Gênes-Saint-Georges, conçu gratuitement par l’architecte Renzo Piano. © Riccardo Arata / Adobe Stock

Le 14 août 2018, de très violents orages sévissent dans la région de Gênes. Mais ce n’est pas du ciel que viendra la foudre. Ce jour-là, dans un fracas indescriptible, le viaduc du Polcevera, le pont emblématique surplombant la ville de Gênes, s’écroule sur plus de 200m, emportant avec lui camions et voitures. La catastrophe, inimaginable pour les Génois, fait 43 morts et 16 blessés. Une hécatombe, qui survient alors que l’ouvrage, également connu sous le nom de pont Morandi (du nom de son concepteur, l’ingénieur italien Riccardo Morandi) présente depuis plusieurs années d’inquiétantes faiblesses.

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