La densification urbaine construit pas à pas son acceptation
Peut-on à la fois être majoritairement favorable aux zones pavillonnaires tout en consentant à des compromis vers plus de densité, à condition que cela n’impacte pas son cadre de vie? Telle est la contradiction qui ressort de l’enquête menée pour l’Observatoire national du cadre de vie. L’idée d’une densité «acceptable» ferait-elle son chemin? Nous avons posé cette question à deux experts: Sarah Dubeaux, chercheuse et docteure en géographie - aménagement et déléguée générale du Laboratoire d’initiatives foncières et territoriales innovantes (Lifti) et Benjamin Aubry, architecte urbaniste, directeur du cabinet Iudo, spécialisé dans les projets de densification douce.
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