« On pourrait mieux représenter le monde où nous vivons »
De la cartographie telle qu’on la connaît à la cosmographie telle que vous la pratiquez, qu’est-ce qui change?
Maxime Blondeau: Ce qui m’intéresse, en cartographie comme au cinéma ou dans la peinture, c’est la manière dont l’humanité se représente son territoire, son habitat. La cosmographie n’est pas de la géographie, qui n’en est qu’une dimension. C’est une approche transdisciplinaire visant à questionner notre représentation de l’espace et du temps. Ce sont les représentations de notre monde qui m’intéressent, y compris d’ailleurs les territoires de fiction, car ils révèlent notre perception du réel.
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