Urbanisme [Abonnés]

Des « villes éponges » pour affronter la crise climatique

Le concept, théorisé en Chine et diffusé en Europe, illustre un urbanisme capable de répondre simultanément aux défis de l’eau, de la chaleur et du bien-être urbain.
Marti Blancho Le jeudi 2 octobre 2025
Dans la ville chinoise de Xiamen, les constructions verticales ont permis de libérer le foncier nécessaire à la création de vastes zones naturelles et de parcs urbains. © chrwittm / Adobe Stock

Tempêtes, sécheresses, canicules… Le dérèglement climatique impose aux villes de s’adapter à des phénomènes météorologiques toujours plus fréquents et intenses. Des décennies de bétonisation massive et d’étalement urbain ont aggravé la vulnérabilité de nos communes face aux aléas climatiques. Et en particulier aux inondations, premier risque naturel en France au vu des dommages et de la population concernée (lire en pages 16-17). Heureusement, nombreuses sont les solutions pour réduire les risques: débitumer et végétaliser, découvrir, décanaliser et reméandrer les cours d’eau, créer des parcs inondables, donner plus de place à la nature et à la pleine terre… En deux mots: basculer vers «la ville éponge».

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